Back from Pérou


Après 12 jours bien reposants (mais actifs quand même !), me voilà de retour du Pérou.

Lily au Pérou

Donc voilà, maintenant je parle une langue de plus, j’avais déjà à mon actif :
- l’anglais (Where is Dominique Brian? Dominique Brian is in the bathroom kitschen)
- l’allemand (Ein zwei polizei)
après je ne garantis plus l’orthographe ….
- le russe (Azimut Hotel : a prononcer avec l’accent guttural, sinon ça ne rend rien)
- le japonais (Kissou tomodashi Guillaumou kodasai, pas de commentaire sur le contexte)
- l’italien (na na na sara perche ti amo)
- l’arabe (toubib, kifkif, echec et mat, …)
et maintenant :
- l’espagnol : quiero una mate de coca pero l’alti plano porque es muy muy difficult

Et sinon, en termes de classement :

- le moment à la fois le pire et le meilleur : la découverte du Machu Picchu, la cité perdue des incas, site incroyable perdu dans la forêt; mais site aussi juché sur un espèce de pain de sucre, qui domine un canyon de 1000m de profondeur. Ce qui fait que je me suis pris une petite crise de panique à cause du vide et du vertige et que je n’ai pas vraiment profité de la visite. Dans ces moments là mon côté rationnel disparait complètement, même si je savais très bien que :
IP[je tombe dans le vide en marchant sur mes lacets]=o(1)
∃ ! p in ∀ touristes / p ∈{touristes tombés dans le ravin}∩{sans faire le kéké au bord du chemin}

- le moment le plus froid : la nuit chez l’habitant sur le lac Titicaca (pas de chauffage et toilettes à l’extérieur, sachant qu’au Pérou on boit des litres et des litres d’eau toute la journée pour lutter contre le mal des montagnes)

- les animaux les plus cools : la vigogne (camélidé super fin), le lama dread locks, le lapin ecureuil

- le best of gastronomique : le pisco, l’avocat, le kiwi, l’alpaga (dont on utilise la laine, mais qu’on mange aussi : léger goût d’agneau)

- le worst of gastronomique : le cochon d’inde (j’ai pas voulu gouter, ça me rappelait trop ma lapine), la chicha (alcool de maïs fermenté qui m’a fait penser à du pipi de lama 12 ans d’age), la feuille de coca (qu’on chique contre le mal des montagnes)

- la plus belle ville : Cuzco, et ses petites ruelles, son temple du soleil et sa place d’armes

- le point le plus haut du parcours : 4 500m et des brouettes, entre Puno et Arequipa

Bref, de très beaux souvenirs, un pays étonnant et des paysages eclectiques, et un retour à Paris qui est d’autant plus difficile !

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