Modération de commentaires Facebook sur un blog ou un site


Parce que j’ai bien galéré (et que j’ai probablement pas encore tout saisi), voilà la marche à suivre :

- Créer une app sur Facebook (typiquement le genre de trucs que je n’ai toujours pas compris : pourquoi on doit créer des apps pour tout et n’importe quoi ?), et la relier au site en question (champ URL du site).

- Mettre les metas dans la partie head du site :

<meta property=”fb:admins” content=”ID du propriétaire”/>

==> Cette meta permet de relier le site à l’administrateur.

Pour connaître son ID, il faut se rendre sur https://graph.facebook.com/nomdutilisateurfacebook, par exemple sur https://graph.facebook.com/lilyliste, j’apprends que mon ID est 100000540777435

<meta property=”fb:app_id” content=”ID de l’app” />

==> Cette meta permet de relier le site à l’app

- Et voilà, ni vu ni connu, les commentaires facebook (et leur modération) sont dispos dans developers.facebook.com/tools/comments, ainsi que dans les notifications du compte

PS : je ne fais pas vraiment les trucs dans l’ordre,mais cette méthode est valable pour les Facebook comments, du type :

<div id=”fb-root”></div><script src=”http://connect.facebook.net/fr_FR/all.js#xfbml=1″></script><fb:comments href=”URL” num_posts=”X” width=”X”></fb:comments>

Bref de comptoir…


… ou l’histoire de la meilleure des meilleures parodies de Bref….

Il était une fois un format court sur Canal Plus, qui avait fait en quelques semaines un carton télé et sur les réseaux sociaux.

Une start-up pleine d’avenir, Lily Liste, s’était alors dit : “Mais zut alors, comment font-ils, nous on a 18 fans, dont 15 qui sont de la famille ? On devrait faire un truc autour de Bref…”

Et ……….. rien ne s’était passé.

Et un jour (une nuit plutôt de mémoire), l’idée est venue et le premier scénario a germé.
Ca donnait ça (j’ai retrouvé mon chat du 18 octobre 2011 :-)) :

“j’ai repensé à Bref :
bref, j’ai crée ma liste, ca m’a pris 5 minutes, mes invités m’ont fait des cadeaux, j’ai acheté en ligne, bref, j’ai fait ma liste chez Lily Liste.
Mais comme ça c’est naze”
NDR : Oh voui c’était naze, l’idée d’une parodie de Bref by Lily Liste avait certes germé, le principe était certes là, mais l’originalité pas encore.

“l’autre idée c’était :
J’ai pas voulu faire de liste, alors j’ai fait une urne.
J’ai passé une journée a faire une boite en carton et des collages.
Au final les 3/4 de mes invités ne m’ont rien donné car ils n’ont pas de chéquier, ou se sont pointés avec un magnifique service à café.
Bref, j’ai pas fait de liste.
Bref j’aurais du faire ma liste chez Lily Liste.”
NDR : La première version était un peu pauvre ok, mais l’idée était là !

2 mois et demi, l’intervention de notre super stagiaire Charlotte et la prise en main du truc par nos supers partenaires Barjabulle et leur ami acteur Vincent Escure plus tard, le tournage avait lieu, dans le froid réchauffé par une ambiance survoltée.

2 semaines après le tournage, avait lieu l’avant-première, en compagnie des acteurs et du “staff”, et l’ambiance était encore plus survoltée.

Et quelques jours encore après, la version définitive est prête et en ligne !

Merci encore encore encore à Nathalie, aka la mariée en colère, et Manu (sosie presque officiel de Bref, mais ne le lui dites pas, il en a déjà marre ; aussi drôle devant la caméra que derrière), ainsi qu’à notre hôte du jour, Fabien, tous nos amis figurants, nos partenaires et notre staff de fou.

Alors, vous en pensez quoi ????

Rien à voir, mais j’en ai marre…


… de ne plus avoir Megavideo pour regarder mes séries en VO, juste après leur sortie aux US.
Heureusement que j’ai des plans de rechange (chan131.so, ma bible !)

Lily Anonymous

Paris Esprit d’Entreprise, 2ème édition


Hier soir avait lieu la seconde édition de Paris Esprit d’Entreprise.

Plus de mille entreprises (1136 exactement), soutenues par la mairie, ont été mises à l’honneur lors d’une soirée exceptionnelle et plus de quarante partenaires ont présenté leurs activités réparties en cinq espaces : un Espace d’accompagnement, Conseils et Economie Sociale et Solidaire ; un Espace Hébergement ; un Espace Financement ; un espace « Réseaux d’entreprises » et enfin un espace « Mairie de Paris » présentant les activités de la direction de l’Emploi et du Développement Economique ainsi que de la Direction des Achats.

Depuis 10 ans, la Ville a fortement développé ses partenariats et ses dispositifs d’aide à la création et au développement des entreprises, pour soutenir la dynamique entrepreneuriale. Aujourd’hui, la Ville dispose ainsi de plus de 40 partenariats différents tant en matière de financement, d’hébergement, que d’accompagnement des entreprises. Ces partenariats se matérialisent aujourd’hui dans le réseau Paris Esprit d’Entreprise.

Les partenaires de la création d’entreprises à Paris :
- ADIE ; ADIL boutique de gestion ; Advancity ; Agence Paris Développement ; AGORANOV ; Alter Bâtir ; AS Tech Paris Région ; Astrolabe Conseil ; BGE PaRIF ; Cap Digital Paris Région ; Capital Games ; Clara ; Coopaname ; Coopératifs ; Coopétic ; Durapole ; Finance Innovation ; Foncière des régions ; Fontaine O Livre ; France Active Garantie ; l’Institut de la Vision ; La Ruche ; Le Mila ; Medicen Paris Region ; Mov’eo ; Oseo ; Pacte PME ; Paris Biotech Santé ; Paris Business Angels ; Paris Habitat ; Paris Initiatives Entreprises ; Paris Mix ; Paris Pionnières ; Paris Région Innovation Lab ; ParisTech entrepreneurs ; Pépinière 27 ; Port Parallèle ; Réseau entreprendre Paris ; RIVP ; SAGI-IE ; Silicon Sentier ; Sciences Po Entrepreneurs ; Scientipôle Initiatives ; SEMAEST ; System@tic Paris Région et l’Union Régionale SCOP Île-de-France.

A noter : Chaque semaine, plus de 600 entreprises sont créées à Paris !

Et un bravo à Marie-Christine Bordeaux ( Paris Pionnières / Fédération Pionnières) et Gonzague de Blignières (Réseau Entreprendre) pour leur présentation dynamique et efficace.

2 photos pour donner envie….

Paris Esprit d'Entreprise  Paris Esprit d'Entreprise

Les Rencontres de l’innovation, le debrief


Plus de 400 Chefs d’entreprise, Lauréats, Adhérents, Partenaires de Réseau Entreprendre étaient présents aux 2èmes Rencontres de l’Innovation le 23 novembre dernier.

L’innovation « grand large » - qu’elle soit technologique, sociale, managériale ou durable - a été au cœur de ce grand Club national, né de la demande forte des Entrepreneurs Lauréats et Adhérents.

Ce fut bien une journée intense de débats sur les questions clés du management d’une jeune entreprise : l’innovation, le business, le développement, les RH, le management…

Synthèse de ces échanges entendus au cours des débats disponible ici !

Les retours des participants dans l’enquête de satisfaction confirment qu’ils sont prêts à sortir des sentiers battus pour innover et développer leur activité !

Et la vidéo!

Récupération de jeu concours et élargissement de la cible


Ces quelques derniers jours, ma boite aux lettres s’est soudainement remplie d’enveloppes diverses et variées pour Lily Liste.

Nous nous sommes dit :
- Chouette, des chèques d’invités (enfin, chouette et pas chouette)
Ou
- Chouette, des participations de futurs mariés à notre jeu concours “Une croisière en Polynésie à gagner”

En pratique, il s’agissait effectivement de participations à notre jeu concours, mais avec un bulletin que nous ne connaissions pas, et venant de mariés certes, mais de mariés plutôt “périmés”.

Après avoir creusé un peu le sujet, nous nous sommes rendu compte que notre jeu avait été publié dans une magnifique revue papier, la “Revue des jeux”.
C’était donc des participations de joueurs “professionnels”, vous savez, ceux qui ont directement un bulletin standard pré-rempli, qui demandent systématiquement le remboursement du timbre via soit un courrier dédié, un “RT” laconique au dos de l’enveloppe, ou une étiquette “Remboursement du timbre SVP” collée sur tous leurs courriers (ça marche avec le RSI ???), et qui ont une cinquantaine d’années en moyenne.

Bref, la Revue des jeux publie chaque mois les “meilleurs concours” qu’ils peuvent trouver, et a donc allégrement récupéré le notre, et ça, on ne peut rien y faire.
Heureusement pour nous, notre règlement de jeu a été bien fait et bien déposé auprès d’un huissier, et stipule que les participants ne peuvent jouer qu’avec les coupons des magazines dans lesquels nous annonçons, ou directement en ligne.

Pas de bol donc pour les joueurs invétérés clients de la Revue des Jeux (qui n’a manifestement pas vérifié notre règlement avant de publier notre jeu dans son magazine).

Je ne résiste cependant pas au plaisir de publier quelques perles reçues avec ces participations !
– “Merci de me faire parvenir un bulletin de jeu gratuit et de me rembourser également le timbre utilisé pour la présente demande” : Ben oui, et puis probablement qu’il faudra aussi rembourser le timbre du bulletin qu’on aura envoyé par courrier non ?
- “Je participe au jeu pour une croisière chouette, et je me marie en 2013 à la grâce de dieu” : A la grâce de Lily oui
- “Nous nous sommes mariés en 1982, et nous fêterons bientôt nos 30 ans de mariage”
- “Au passage, mes meilleurs voeux du nouvel an 2012″
- “Je viens vous demander s’il vous plait, si vous pouvez me rembourser le timbre pour la lettre” : Ben non, il ne me plait pas

A noter également : les joueurs doivent penser qu’on fait toujours le tirage au sort en piochant dans une urne (mais non, on est modernes, on utilise un dérivé du random d’excel ; et surtout on aime pas les urnes) car les “créas” envoyées sont diverses et variées : cartes postales, cartes de voeux, collages, …
Jeu Concours

Et last but not least autant on pouvait envisager à un moment de travailler avec la régie qui est derrière cette revue et qui propose “des solutions techniques et un puissant réseau de diffusion pour la collecte d’opt-in qualifiés”, autant maintenant ce n’est plus le cas compte-tenu de leurs méthodes et de leur clientèle.

Je fais du cinéma


Un we intensif, pour une vidéo sympa à venir !

BricolageAu programme :
La semaine d’avant :
- Motivation des amis pour faire les figurants
- Finalisation du scénario (merci à nos chers partenaires)
- Finalisation de la déco (merci à notre chère stagiaire)

Le jour J :
- Lever vers 6h samedi matin
- Arrivée chez notre gentil hôte à 7h (mais avec les croissants quand même)
- Déco sous la pluie en extérieur de 7h à 9h (”Ah bon un rideau de fil ça ne tient pas sur du scotch double face ?”)
- Arrivée des comédiens et de l’équipe de prod à 9h
- Changement de programme, de script, de scénario à 9h30 (Yeahh)
- Début du tournage en intérieur à 10h
- Début du tournage en extérieur à 14h
- Pizzas pour nourrir tout le monde à 15h30
- Vin chaud pour réchauffer tout le monde à 16h
- Fin du tournage à 17h
- Rangement et nettoyage de 17h à 18h
- Dodo dans la foulée ou presque

L’occasion aussi d’apprendre le B.A.BA du cinéma :
– “Amandaaaaaaa !!!!!” (Mais c’est qui cette Amanda dont tout le monde parle, c’est la blonde qui est dans le coin ? Par du tout, en fait c’est “La manda”, raccourci pour “la mandarine”, la lumière qui sert éclairer la zone de tournage)
– “Silence, on tourne, action !” : c’est pour de vrai, c’est pas juste dans les séries américaines
- “Après la prise de son, je fais la prise en contre plongée, puis en contre champ, on fera les finitions en post-prod, avec le fond vert” (Moi j’ai rien compris, mais à ce moment là j’ai dit “OK”)
- Il ne faut pas oublier de couper son téléphone pendant la prise d’une scène hyper importante, ou alors tu as le choix entre être pendu à Amanda ou te prendre un coup d’Amanda dans la tête

L’occasion aussi de démystifier certaines choses :
- Tous les réalisateurs ne sont pas italiens
- Tous les réalisateurs ne disent pas “fais l’amour à la caméra” (ou alors ça dépend du type de film)
- Etre acteur c’est carrément pas à la portée de tout le monde (”Fais une tête gênée…..gênée j’ai dit……gênée, pas constipée stp”)
- Pour 1 minute de film, il faut des heures et des heures et des heures de préparation, des heures et des heures et des heures de tournage, des heures et des heures et des heures de montage

Mais au final : je suis très impatiente de voir le résultat !! Et je n’en dirai pas plus (TEASING), je me contenterai de partager une photo…..
Rdv bientôt pour la vérsion animée !

Teasing

Ceci étant dit


Bonne année quand même !!
Lily Liste - Carte de Voeux 2012

2012


Mon voeu pieux (pieu ? ) pour 2012 : Une année sans heurts ni tracas avec les amis stagiaires.

Le dernier rebondissement en date ?

- Une stagiaire qui vient pendant 10 jours, pendant lesquels tout se passe bien : on la dorlote et elle a l’air supra motivée.
- Qui après 10 jours nous dit qu’elle a un arrêt de travail d’une semaine, qu’elle va nous envoyer, pour une gastro / angine.
- Qui après sa semaine d’arrêt de travail ne revient plus du tout, ne répond ni par mail, ni par téléphone, ni par sms.

Donc là on se dit qu’elle a eu un accident, qu’elle est platrée jusqu’au menton, qu’il se passe un truc grave.

Sauf que : on reçoit un mail laconique au bout de 2 jours de harcèlement téléphonique et autres : “J’ai un problème de santé, on m’a découvert quelque chose, je suis désolée d’avoir été absente, j’avais pas le moral et donc pas envie de répondre à mes mails ou à mon téléphone, je comprendrais que vous ne souhaitiez pas continuer le stage”.

Pleines de compréhension, nous répondons : “parlons-en”.

Quelques jours plus tard, ladite stagiaire se présente donc, pour “en parler”, et là :

- Arrive “Sarah Bernhardt” en personne, à savoir une jeune femme les yeux humides, dans le vague, le visage qui transpire le “oh rage, oh désespoir, oh vieillesse ennemie, n’ai-je donc tant vécu que pour cette infamie”
- Sarah Bernhardt nous explique qu’on a lui a effectivement détecté une maladie grave, un dérivé de la narcolepsie, qui va nécessiter 6 mois de traitements (massage, acupuncture et sophrologie), qui a été découvert suite à des analyses qu’elle a faites et notamment suite à une journée passée à l’hôpital à faire des analyses de ses cycles de sommeil, que celà explique un évanouissement qu’elle avait eu quelques mois plus tôt, et qu’en plus celà a des effets de bord sur son coeur et son colon (le tout en 20 bonnes minutes top chrono).

Alors déjà là, on se dit: “il y a un truc très louche”, ça ressemble pas tellement à de la médecine ou à une maladie (eh ouais, on est fan de D. House ou on ne l’est pas ) tout ça.

- Sarah Bernhardt continue en nous disant qu’elle a demandé à son école de repousser sa formation de 6 mois, mais que cette dernière n’a pas voulu, et qu’elle a donc trouvé un stage chez son oncle, avec horaires et responsabilités allégées, qui lui permettra de prendre du temps pour elle.

A ce moment là, on comprend donc que Sarah ne revient pas, sans qu’elle ne nous l’ai jamais dit.

- Sarah Bernhardt conclut en disant qu’elle a vu avec l’école, et qu’étant en “période d’essai de stage”, elle n’a pas besoin de nous faire le moindre courrier pour finir le stage.

Avec malgré tout de gros doutes sur la sincérité de Sarah, nous lui disons donc au revoir, en lui souhaitant bon courage pour la suite, et en lui conseillant de prendre avant tout soin d’elle.

MAIS REBONDISSEMENT, après discussion avec son école, il s’avère que :

- L’arrêt de travail originel de Sarah Bernhardt (jamais reçu au passage) n’était pas d’une semaine mais de 2 jours.
- Sarah Bernhardt n’a jamais demandé à repousser son école.
- Sarah Bernhardt doit bien nous envoyer un courrier officiel pour mettre fin au stage.
- Sarah Bernhardt n’a aucune maladie orpheline qui se soigne avec des poupées vaudou, mais juste une baisse de moral suite à un aléa dans son couple.

Bref, on s’est fait EMBOBINER SÉVÈRE, et je vais encore jouer la vieille relou qui expliquer la vie aux “djeuns”, mais, personnellement je suis très choquée par l’immaturité de certains stagiaires aujourd’hui : c’est le droit le plus strict d’avoir une baisse de moral, ou de ne pas apprécier un stage, … mais tout de même, aller pipoter une fausse maladie (expliquée, détaillée, argumentée en long et en large) pour le justifier c’est grave :

D’une part parce que c’est un manque total de respect pour ceux qui sont VRAIMENT malades, et qui trouvent quand même le courage / la force de travailler.

Et d’autre part, parce que dans la vie il faut ASSUMER ses choix et ses décisions.

Après tout, le mensonge n’eut pas été si gros, on aurait pu réellement s’inquiéter pour elle.

Au final : Pas de regret car compte tenu de l’engin, il vaut mieux que ça s’arrête maintenant, mais quelques semaines de perdues pour notre recrutement…

Le media training by Gaëlle Copienne


Gaelle Copienne

Mercredi dernier, après la conférence à Bercy, avait lieu le premier “Pionnières Day”, avec des Pionnières venues de la France entière et même de l’étranger.

Un des temps forts de l’après-midi était la séance de Media training par Gaëlle Copienne, présentatrice télé et reporter, animatrice de plateaux de web télés et formatrice en media-training.

Alors, voilà les clés pour bien se comporter face aux média ou tout simplement lors d’une intervention en public !

Un bon client presse c’est une personne avec discours efficace, concis, clair, une idée par phrase, qui n’utilise pas de jargon (on oublie le “Je lance ASAP le B2C, et dès que c’est Up&Running c’est la step2 avec le B2B qui nécessite moins de BFR avec un meilleur ROI”) ,et ne sort pas de son sujet.

L’intervenant doit préparer la prise de parole

1-      Message clef : un message simple, compréhensible par tous

Faits, chiffres, anecdotes : tout autour d’un seul message, pour canaliser le journaliste, lui donner un truc utilisable, pas juste un slogan (l’équivalent du sous-titre d’un article, pas du titre), attention à trop en dire, à tout raconter (c’est contre productif au final)

Par exemple : une agence immobilière qui en interview France Presse dit « on ferme chaque mois 30 agences et on en ouvre 50 », plutôt que de dire « chaque mois au global nous avons 20 agences supplémentaires » ==> Message repris dans la presse : « ils ferment 50 agences par mois !! »

2-      A qui je parle : il faut adapter le message au public, à son niveau de compréhension ; le message est différent si on s’adresse à une classe de primaire, à un magazine mode, ou aux échos

Dans tous les cas, faire la guerre au jargon, vulgariser le plus possible (les gens adorent qu’on leur explique des trucs qu’ils connaissent déjà !), puisque de toutes façons le public plus spécialisé reviendra vers vous pour les questions « pointues »

Autant que faire se peut, essayer de créer une proximité géographique et émotionnelle, jouer les sensibilités, illustrer avec des exemples concrets bien illustrés et bien exploités.

Par exemple: la loi du mort kilomètre : un mort en bas de chez moi m’intéresse plus que 100 morts au bout du monde ; un français mort au bout du monde m’intéresse plus que 100 espagnols morts en bas de chez moi.

3-      Qui suis-je pour le dire : je suis légitime pour parler de mon entreprise évidemment, mais attention à tout ce qui sort de cette sphère (aucune d’obligation de répondre !)

Forme :

1-      Message clef : A placer tout de suite, d’autant plus qu’on ne sait pas combien de temps on a, s’entraîner à pitcher son message en 30 secondes, prendre la main

2-      Reprendre l’intitulé des questions : Utile notamment pour les interviews télé ou radio (utile pour les journalistes qui feront des coupes au montage), sauf évidemment pour les questions péjoratives : ça les légitimerait!

Attitude physique :

1-      Posture : Etre à l’aise, ne pas bouger, éviter les cling cling des bracelets sur la table, se tenir droit, éviter les facteurs de stress

2-      Respiration : Respirer avec le ventre, se relaxer, détendre les épaules, éviter d’être serré au niveau du ventre (les journalistes on toujours un bouton ouvert !), s’entraîner à parler avec un stylo dans la bouche (pour articuler et pousser la voix)

3-      Regard : Regarder le journaliste pas la caméra (sauf pour les vœux du président, et on voit ce que ça donne :-))

FAQ :

1-      Que faire de mes mains ? Comme dans la vie, on s’en fiche en fait tant que c’est naturel !

2-      Qu’est ce que je porte ? Eviter le rouge qui brouille à l’écran, les motifs, les rayures, les décolletés plongeants et les mini jupes

3-      Puis-je relire ou visionner avant parution ? Pas moyen (sauf les citations en presse écrite)

4-      Puis-je dire quelque chose au journaliste en off ? Et non, le off ça n’existe pas, un journaliste reste un journaliste

5-      Je n’aime pas me mettre en avant : Ben si, il faut y aller quand même et prendre sur soi

6-      Dois-je écrire mon discours ? Surtout pas, pas de par cœur, des mots clés et des chiffres éventuellement

Avec tout ça, tout devrait bien se passer !